Premium Breast by American Hospital of Paris

The Women’s Risk Institute

Identifier les risques à l’échelle de chaque femme, proposer un dépistage encore plus précoce et une prévention ciblée du cancer du sein

THE WOMEN'S RISK INSTITUTE

Amener la médecine personnalisée vers le champ de la prévention des cancers grâce au développement d’outils technologiques d’intelligence artificielle, d’imagerie et de biologie moléculaire extrêmement performants

Un bilan au Women’s Risk Institute

L’objectif du Women’s Risk Institute est d’identifier le risque individuel de chaque femme de développer un cancer du sein pour lui proposer une surveillance adaptée et une prévention ciblée. Grâce à l’analyse des données individuelles, familiales, radiologiques et génétique de chaque femme, le Women’s Risk Institute de l’Hôpital Américain de Paris anticipe cette évolution nécessaire de la médecine oncologique, avec la construction d'un programme personnalisé de surveillance et de prévention dédié aux femmes.

Un bilan au Women’s Risk Institute

Grâce à de nouveaux logiciels experts, toute femme sans antécédent de cancer du sein, quel que soit son âge, peut bénéficier d’une prise en charge individuelle spécifique afin d’estimer rapidement son risque de développer un cancer du sein dans les années à venir.

 

Informations sur Mammorisk

D’une durée de deux heures environ, le bilan a lieu à l’Hôpital Américain de Paris. Il est fondé sur :
un questionnaire sur les antécédents personnel et familiaux,

  • une mammographie avec mesure standardisée de la densité mammaire (lien vers imagerie),
  • une consultation avec un radiologue,
  • un algorithme d’intelligence artificielle permettant l’évaluation du risque de cancer du sein de chaque femme en fonction des données individuelles, familiales et d’imagerie recueillies,
  • à l’avenir, une intégration des données biologiques de profil génétique
  • une consultation finale de synthèse assurée par un oncologue médical qui remet à la patiente son évaluation individuelle de risque de cancer du sein et définit avec elle un programme personnalisé de surveillance et de prévention.

Quels sont les principaux facteurs de risques du cancer du sein ?

Un cancer n’est jamais le résultat d’une cause unique. Il faut un ensemble de facteurs, souvent susceptibles d’interagir entre eux, pour que la maladie se développe.

  • L’âge

Le risque de cancer du sein augmente avec l’âge. C’est le premier facteur de risque de cancer du sein.

  • Les antécédents familiaux et les facteurs génétiques

La présence de personnes de votre famille proche ayant eu un cancer du sein est un facteur important de risque de cancer du sein, d’autant plus si le cancer du sein a été diagnostiqué à un âge jeune chez des membres de la famille. De 20 à 30 % des cancers du sein se manifestent chez des femmes ayant plusieurs cas de cancer du sein dans leur famille proche (mère, sœur, grand-mère voire plus rarement frère ou père, le cancer du sein pouvant également toucher les hommes).

Les mutations génétiques : grâce à un partenariat avec l’Institut Curie, une consultation de génétique pourra être proposée aux femmes ou aux familles présentant un potentiel risque génétique de cancer du sein.

  • Les maladies bénignes du sein

Les maladies bénignes du sein correspondent aux maladies non cancéreuses du sein. En effet, certaines lésions, comme les kystes, sont fréquentes, mais ne sont pas associées à une augmentation du risque de cancer du sein. A l’inverse, la découverte d’autres lésions bénignes, comme les papillomes, peut augmenter le risque de cancer du sein et nécessiter une surveillance rapprochée.

  • La densité mammaire

Les radiographies des seins permettent au radiologue de déterminer la densité mammaire d’une femme. Elle n’a rien à voir avec la taille, l’apparence ou la consistance des seins. Elle correspond au taux de graisse dans le sein. Plus le sein est de type « graisseux », plus la densité est faible. La densité mammaire varie avec l’âge.
Les femmes avec une densité mammaire importante sont à risque plus élevé de cancer du sein : les femmes avec la densité la plus élevée ont 4 à 6 fois plus de risque de développer un cancer du sein au cours de leur vie que les femmes dont les seins sont presque entièrement « graisseux ».

  • Les facteurs de risque secondaires de cancer du sein

D’autres paramètres ont été identifiés comme facteurs de risque de développer un cancer du sein ou comme facteurs protecteurs, même si leur impact est moins déterminant que les précédents : alcool, surpoids et obésité (après la ménopause), contraception orale (pilule), traitement hormonal substitutif de la ménopause, âge des premières règles, âge à la naissance du premier enfant, âge de la ménopause, nombre d’enfants, durée de l’allaitement et activité physique.

Consultation au Women's Risk Institute

A l’issue du bilan

Proposer aux femmes un suivi personnalisé

Même si à l’issue du bilan, plusieurs facteurs de risque de cancer du sein sont identifiés, cela ne signifie pas que vous allez développer la maladie. Il est toutefois important que vous et votre médecin connaissiez votre risque de développer un cancer du sein afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Ainsi, le médecin pourra vous proposer un suivi personnalisé dépendant de votre risque.
L’Hôpital Américain de Paris propose à la patiente, si elle le souhaite, une prise en charge complète au sein d’un programme de surveillance et de prévention dédié.
Une orientation vers une prise en charge spécifique oncogénétique est proposée aux femmes identifiées comme potentiellement à risque familial (en collaboration avec l’Institut Curie).

Pourquoi effectuer un bilan au Women’s Risk Institute ?

Grâce à un bilan spécifique, en deux heures et dans un même lieu, vous avez l’opportunité :

  • d’identifier vos risques individuels de développer un cancer du sein dans les années à venir
  • de vous informer sur le dépistage personnalisé et le programme de prévention qui vous correspond
  • d’être orienté, si nécessaire, vers une consultation de génétique

The Women’s Risk Institute :

  • Ne se substitue pas aux différents « dépistages organisés » de masse
  • Ne concerne pas la surveillance post-thérapeutique des patients déjà traités pour un cancer